Analyse du ton de Voltaire par un élève

Voici un texte rédigé par un élève traitant du ton du texte et de la façon dont il se fait l’expression d’une désillusion et d’une critique du pouvoir. 

Voltaire exprime dans ce texte son amertume contre Frédéric II de Russie. En effet, il y exprime déjà son désir de quitter le service du monarque quand il dit je ne songe qu'à déserter honnêtement. Cette nostalgie du pays est aussi marquer par le fait qu'il dise que Frédéric II l'a arraché à sa patrie ou par l'emploie de nombreuses phrases injonctives qui expriment son chagrin. Il ne veut pas pour autant se battre avec Frédéric II car comme il le dit dans la métaphore des cinquante mille moustaches, il n'a pas de soldats a son service. 

Son amertume va aussi se manifester par des propos moqueurs et ironique ; par exemple, après s'être personnifié en orange pressée, il dit vouloir écrire un dictionnaire de traduction entre la langue française et la langue des monarques ou alors une encyclopédie. Voltaire regrette aussi le fait qu'il ne voit pas suffisamment le roi quand il dit par exemple qu'il veut dîner plus avec lui. Au final il se considère comme quelqu'un de supérieur à Frédéric II.